• Bien que généraliste, la 3e année (L3) permet de « colorer » sa licence par le choix d’un parcours, en fonction de ses goûts et de son projet professionnel. Sans être une réelle spécialisation, le parcours renforce la formation dans un domaine :

        droit privé (droit civil, droit des sociétés, droit commercial, droit du travail, droit judiciaire privé, droit de la propriété intellectuelle) ;

        droit public (droit administratif, droit fiscal, droit public des affaires, contentieux administratif) ;

        droit européen et droit international (droit européen, droit international public, droit du commerce international, droit comparé) ;

        science politique (droit, philosophie et doctrines politiques, vie politique, politiques publiques, sociologie politique, relations internationales...).

    Certains établissements organisent des licences bidisciplinaires qui associent un autre domaine au droit, comme les biotechnologies, la science politique, l’économie et la gestion, les sciences sociales ou l’histoire de l’art... Des filières exigeantes et sélectives qui permettent d’acquérir une double compétence de plus en plus recherchée.
     

    Les licences franco-étrangères forment des juristes bilingues, avec une partie de la formation qui s’effectue à l’étranger. On y étudie le droit français et un droit étranger (allemand, anglais, américain, russe, suisse...), avec un double ou un bidiplôme à la clé. Accès sélectif qui exige un très bon niveau dans la langue choisie.


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